Compte-rendu des Rencontres Historiques de La Tour Blanche


Le samedi 19 novembre 2011 se sont tenues les 3èmes rencontres historiques de la Tour Blanche devant un public de plus de 80 personnes attentives. 

Une fois n’est pas coutume, l’objet des rencontres avait trait cette fois à l’Histoire contemporaine.
La manifestation, dont le thème était : « Espagnols, Alsaciens et Juifs, Dordogne, terre d’accueil  » et qui a duré tout l’après-midi, comportait deux très belles expositions, l’une sur l’accueil des Alsaciens et l’autre sur la communauté israélite durant la deuxième guerre mondiale en Périgord,  trois conférences sur les trois sujets et un film sur le sauvetage d’enfants juifs.
Les bénévoles des bibliothèques de Gouts et La Tour Blanche ont tenu un stand de prêts de livres sur les sujets abordés, vingt cinq  livres ont été empruntés. Un stand exposait et vendait les ouvrages des conférenciers : grand succès.

Bernard Reviriego, conservateur aux archives départementales, a traité l’accueil des Espagnols avec un petit retour historique sur la guerre civile, dans la mesure où leur accueil était organisé par les autorités, il a évolué de neutre bienveillant à très négatif lors de l’arrivée au pouvoir du régime de Vichy. Assez rapidement, les Espagnols ont été intégrés dans des groupes de travailleurs étrangers (GTE), régime dur, mauvaise nourriture, travail intensif ; après la suppression de la zone dite libre, les Allemands ont puisé dans ce réservoir de main d’œuvre gratuite.

La réception de 80.000 « repliés » d’Alsace et principalement de Strasbourg durant un an, bien qu’organisée à la hâte s’est à peu près bien passé selon Christine et François Schunck, historiens, qui ont particulièrement étudié et publié sur ce sujet. Différences de culture, de langues, parfois de religion n’étaient pas des obstacles aisés à surmonter, cependant, peu à peu, nos compatriotes alsaciens y ont mis de bonne volonté et les Périgourdins également de sorte qu’au bout d’un an, bon nombre d’Alsaciens sont restés, ont fait souche, il suffit d’ouvrir l’annuaire téléphonique de la Dordogne…

En 1939, les Périgourdins ignoraient le judaïsme, car aucune communauté juive n’était connue. En Alsace, par contre, existait depuis le Moyen-Age, une importante communauté juive, qui s’est grossie au XXème siècle de l’apport de réfugiés des pays de l’est de l’Europe, où les pogroms étaient courants. Ainsi, de nombreux israélites se sont repliés sur le Périgord avec leurs voisins catholiques et protestants. Souvent, la prise en charge des « repliés » s’est faite au travers des institutions sociales religieuses.
Les Espagnols, qui étaient politisés et aguerris, les Alsaciens et les Israélites, lorsqu’ils étaient politisés, se sont retrouvés rapidement dans la Résistance au nazisme et à Vichy.
Enfin, le très beau film documentaire « Les enfants clandestins » sur les enfants juifs cachés durant la guerre en Périgord et Limousin a ému l’assistance et a clos cette riche journée.
André Vigne.


Images de cette journée, cliquer sur le lien suivant :
 Vidéo journée historique du 19 11
ou autre version :
Alsaciens, Juifs et espagnols en Périgord 2



Rencontres historiques de La Tour Blanche.

Cher(e)s ami(e)s

Samedi 19 Novembre de 14h à 19h  Salle polyvalente se dérouleront les Rencontres Historiques de La Tour Blanche
 sur le thème "Espagnols, Alsaciens, Juifs; 1939-1945 Périgord terre d'accueil?"
Le déroulement de la journée sera le suivant:
Ouverture des portes 13h 30,
 il y aura successivement trois conférences suivies de questions
- à 14h 15 avec Bernard Reviriego "Après la "Retirada" que sont devenus les Espagnols en Dordogne"
- à 15h 45 avec Christine et François Schunck "1939 :L'évacuation des Alsaciens en Dordogne"
- à 17h  de nouveau avec B  Reviriego " Que sont devenus les Juifs en Dordogne"
- à 18h avec Ciné Passion projection du documentaire "les enfants clandestins" sur les enfants juifs cachés en Dordogne et Limousin.

Deux expositions seront installées dans la salle polyvalente:
l'une réalisée par les archives départementales
"Une famille juive dans la tourmente. De Strasbourg à Périgueux 1939-1944"
L'autre par le CRDP:
"Périgueux à l'heure Alsacienne"
Une innovation qui j'espère vous conviendra: En partenariat avec la bibliothèque de prêt de Verteillac, des ouvrages relatifs aux sujets traités seront en prêt dans la salle. Il suffira de laisser un nom et une adresse.
Participation aux frais: 2€

Bien entendu les Historiens signeront leurs ouvrages pendant les pauses.
Vous pourrez entendre en "avant première" B Reviriego, Christine et François Schunck  sur Radio Liberté le Mardi 15 Novembre de 11h à Midi

Un contact : Duverneuil Gabriel:05 53 90 6341.
Au Samedi 19 Novembre!
Amicalement
Pour le Club Histoire Mémoire et Patrimoine de La Tour Blanche et des environs
Gabriel Duverneuil

Serge AVRILLEAU à la Petite Claverie.



Cher(e)s ami(e)s
Samedi 15 Octobre à partir de 14h Serge Avrilleau, que beaucoup d'entre nous connaissent car il est venu à La Tour Blanche au tout début de la création du Club Histoire, vient de nouveau nous faire profiter en avant première de la sortie du Tome 5 des "Cluzeaux et souterrains du Périgord" qui concerne les cantons de Nontron et Mareuil.
Jean François Ténes , membre du Club, nous accueillera chez lui au lieu dit "La petite Clavelie" à environ 4kms de Ribérac à mi chemin entre Ribérac et St Méard de Drone (voir le plan sur l'affiche).
Jean François a dégagé et mis en valeur un magnifique cluzeau se trouvant sur sa propriété  et il nous recevra pour la présentation de Serge Avrilleau dans un des bâtiments de sa propriété.
Vous pourrez visiter le cluzeau, assister à la présentation de Serge Avrilleau, à la projection d'un diaporama sur le sujet et.... nous terminerons par un pot de l'amitié.
C'est gratuit!
Amicalement
Gabriel Duverneuil

A la découverte de l'ancien vignoble de ROSSIGNOL.

               Vidéo  de la journée du 3 septembre  
        ' Images de Bernard Bodet"   
                                                           
                   
                                       petite video sur la promenade sur le vin de rossignol                               .

Compte rendu : soirée du 20 juin 2011

Soirée du Club Histoire de La Tour Blanche et des environs
du Lundi 20 juin 2011

Franc succès pour cette dernière session du club Histoire qui a réuni près de  120 personnes pour écouter Mr Michel  Vergnaud nous raconter l’histoire du vin de Rossignol et de ses environs.

La culture de la vigne et sa vinification sont nés en Arménie, il y a environ 6000 ans pensent les historiens (Rappelez-vous Noé et sa vigne). Elle  a transité par l’Egypte, la Mésopotamie et la Grèce, puis Rome. Elle arrive en Gaule vers 600 AC par Massilia  (Marseille), alors comptoir grec.
Le vin sera d’abord exporté en Gaule  par les Romains, une carte montrant le trajet des amphores le long de la vallée du Rhône et par la «Narbonnaise », par la  vallée de la Garonne, Burdigalia (Bordeaux) vers les îles Britaniques (Déjà !). Des restes d’amphores estampillées d’un négociant romain retrouvées le long de ce trajet en témoignent.
Après la conquête de la Gaule en 52 avant J.C., les Gaulois se mettent à cultiver la vigne et exporteront  leur vin vers Rome après l’éruption du Vésuve qui détruit le vignoble de Pompëi en 79 après J.C.
Les invasions barbares stoppent cette culture, qui reprend avec le développement des abbayes, le vin de messe devenant son premier débouché.
 La première trace écrite de l’existence d’un vignoble  de Rossignol se trouve dans le don fait en  937 par le moine Luterius à l’Abbaye de Saint Cybard de ses propriétés et de sa vigne située à Goûts. D’autres écrits par la suite témoignent de la permanence de la fabrication du vin dans la région. Ainsi l’état des propriétés du Seigneur de La Tour Blanche avant de partir en croisade en 1249 fait mention de ses vignes ; en 1529 l’ex-libris d’un ouvrage de Jean Bertaud né à la Tour Blanche fait référence à son  vin. En 1651, pendant la Fronde, Odet Lelong, propriétaire de La Meyfrénie, conseiller du Roi et magistrat au Présidial de Périgueux écrit à Condé, chef des frondeurs et occupant Périgueux, en protestant de son attachement au Roi et en  évoquant les vendanges qui le retiennent à La Meyfrenie… 


La carte de Belleyme, en 1776, traduit l’étendue du vignoble de Rossignol. Les grands châteaux viticoles (Jaurias, la Vassaldie, la Meyfrénie …) voient leur apogée aux XVIIIe et XIXe jusqu’à l’attaque du phylloxéra. On a raconté que le vin de Rossignol était bu à la Cour du Roi, peut-être parce que F.D Aubin de Jaurias était mousquetaire de la Garde du Roi !
Ce que témoignent de façon certaine les très nombreuses archives du château de Jaurias , c’est que le vin de Jaurias était vendu jusqu’en Limousin et dans la Creuse, et que les charrois transportant les barriques partaient de Mareuil sur Belle.
Le vignoble de Rossignol décline à partir de la seconde moitié du XIXe siècle avec les atteintes de l’oïdium, du mildiou et surtout du phylloxéra. Jaurias résiste mieux que les autres puisqu’à la première Félibrée à Mareuil en1903, on sert encore du vin vieux de Rossignol !
La guerre de 1914-1918 signe la fin tragique de la monoculture de la vigne dans la région, quelques essais de replantage se font au cours du XXe siècle et il ne subsiste à l’heure actuelle que 4,5 hectares (739 en1825, 109 en 1913) de vigne sur la commune de Goûts-Rossignol. 




Très applaudi, Michel Vergnaud,  après avoir remercié ceux qui l’ont aidé a en lui procurant des documents,  informe  les participants de la possibilité d’acquérir la brochure qu’il a édité sur le vin de Rossignol au prix  (coutant) de 7€. Cette brochure sera en vente à la boulangerie de Gouts.
Gabriel Duverneuil  invite alors les participants à venir déguster le vin de Rossignol, offert par deux producteurs, Mr Bertin et Mr Ducoup  qu’il remercie chaleureusement au nom du Club Histoire.
 


L’histoire du vin de Rossignol aura un prolongement festif et champêtre  le 3 Septembre avec la randonnée historique organisée par le Club Histoire de La Tour Blanche en partenariat avec le Comité des fêtes de Goûts-Rossignol sur les traces de ces anciens vignobles et des grands domaines gallo romains.
Le repas sera organisé dans les chais du château de Jaurias et l’après midi les participants pourront visiter le château de  la Meyfrenie.
Rendez-vous au Samedi 3 Septembre  2011
Claude Duverneuil

 
 Cliquer sur les images pour les agrandir.

Le vin de Rossignol et des environs.

Conférence sur « Le Vin de Rossignol et des environs »
Histoire d’un ancien vignoble du Périgord
Par Michel VERGNAUD - 20 juin 2011. 

 La tradition veut que le vin de Rossignol ait été bu à la table du Roi à Versailles.
Cette notoriété certaine a attiré la curiosité du conférencier qui a tenté de reconstituer l’histoire du vignoble de Rossignol et des environs.
Déjà cité en 937 par le moine Lutérius qui fait don de sa propriété et en particulier de ses vignes à l’abbaye de Saint Cybard en Charente, le vignoble s’est peu à peu développé bénéficiant de conditions géologiques et climatiques favorables.
C’est à la fin du XVIIe siècle qu’il prend toute son ampleur avec l’apparition des châteaux viticoles de Jaurias, la Vassaldie, la Meyfrénie etc. Après un léger fléchissement au moment de la Révolution, il atteint son apogée à la moitié du XIXe siècle.
Malheureusement, l’arrivée d’Amérique des maladies cryptogamiques (oïdium, mildiou) puis du phylloxéra porteront un coup fatal à ce vignoble en 1875.
On replantera la vigne grâce aux plans américains, en particulier à Jauria à partir de 1880, mais l’arrivée du chemin de fer amenant le vin du Midi bon marché, l’exode rural et la Première Guerre Mondiale auront définitivement raison du vignoble de Rossignol.
Il restera encore dans les mémoires au début du XXe siècle, puisqu’il sera servi lors de la première Félibrée à Mareuil-sur-Belle en 1903 et qu’Eugène Le Roy le cite dans son roman Le Moulin du Frau.
En 1825, le vignoble de la commune de Goûts-Rossignol s’étendait sur 939 hectares. En 2011 il occupe 4,5 hectares !
Ces lambeaux du vignoble continuent à être cultivés avec amour et persévérance par une poignée de nostalgiques.


CAFE ASSOCIATIF de LEGUILLAC de CERCLES

Samedi 11 Juin 
La machine à remonter le temps ;  Les VENUS de l’art contemporain à la Préhistoire
De 15h à 18h Céline G sculptrice,  ouvrira un atelier de sculpture sur stéatite sur le thème de Vénus.
Inscription 10 €,  au 06 83 17 54 34. Matériel fourni.
A 20h 30  Projections-débat animé par Serge Maury préhistorien.
Serge Maury était il y a peu,  archéologue départemental. Maintenant à la retraite, ce passionné de vulgarisation scientifique parcourt la région en faisant partager ses connaissances dans le domaine de la préhistoire au cours de réunions organisées par les structures associatives.

Chacun se souvient dans le Verteillacois de la soirée qu’il animât à La Tour Blanche sur les « gestes de la préhistoire » avec une  série de petits films de 10 mn traitant de sujets aussi varié que l’apparition de l’art, la fabrication   d’un propulseur ou la taille d’un silex.
Aujourd’hui il se consacre à leur production et à leur  diffusion et dispose d’un catalogue d’une centaine de films de ce type.  Serge Maury, qui a plus d’une corde à son arc, animera donc le débat  sur  « l’art et les Venus de la préhistoire ».


Organisée  par le café associatif de Léguillac de Cercles en partenariat avec le « Club Histoire Mémoire et Patrimoine de La Tour Blanche », cette soirée est ouverte à tous les publics et l’entrée est gratuite.


Soirée du Club Histoire de la Tour Blanche et des environs du 16 mai 2011

Environs 80 personnes étaient présentes pour écouter Marie Palué nous parler du Château de l’Herm.
G. Duverneuil rappelle tout d’abord que les soirées du club Histoire sont gratuites mais que chacun peut s’il le souhaite participer à sa vie par un don annuel de 10 euros. Il rappelle ensuite les «évènements » suivants :
     -samedi 28 Mai : A la découverte du vallon de la Sandonie
                           Rv à 15h30 à la salle des fêtes de Paussac St Vivien
     -samedi 11 Juin au Café Associatif de Léguillac de Cercles et en partenariat  avec le club histoire :  Conférence de S. Maury à 20h30 sur « Les Vénus dans l’art de la Préhistoire»
     -lundi 20 Juin à 20h30 à la salle des fêtes de La Tour Blanche conférence de M. Vergnaud sur « L’histoire du vin de Rossignol »

Marie Palué , responsable des fouilles programmées (d’Etat) au Château de l’Herm nous parle ensuite de son travail de recherche sur le site en nous projetant un certain nombre de photos .
Après une première campagne de fouilles archéologiques réalisée de 2001 à 2008 et consacrée à la période moderne (XVIe, XVIIIe), une seconde campagne a été programmée en 2010-2011 afin de poursuivre et terminer les travaux, en particulier sur la partie du moyen –âge.
La plate-forme fossoyée, c’est-à-dire entourée d’un fossé (profond de 4 m) a été édifiée entre 1020 et 1155 probablement dans l’objectif de la mise en valeur du sol par le défrichement de la forêt, mais aussi dans un but défensif. Le site est abandonné à la suite d’un incendie en 1380  jusqu’à ce que Jean de Calvimont, conseiller au Parlement de Bordeaux devienne  seigneur du lieu en 1500. La première partie des fouilles a permis de dater la construction du château Renaissance (1500-1520). Les renseignements sur l’occupation du XVIe au XVIIIe ont été obtenus grâce à 5 registres notariés conservés aux Archives de Toulouse, à 3 inventaires du château et à la fouille de latrines. Cette dernière a fourni un matériel considérable (monnaies, objets usuels, dont verres céramiques) donnant de précieuses indications sur la vie quotidienne de l’époque. Dans la cour ont été retrouvées les restes d’un four à pain, ainsi que d’une chapelle contenant une sépulture, non encore fouillée.
La seconde partie des fouilles, en cours, concerne la période médiévale.
Il s’agit d’une plateforme fossoyée située à la limite des possessions des Vicomtes de Limoges et de celles du Comte de Périgord et vraisemblablement construite par ce dernier dans un but défensif et de défrichement. Une tranchée à travers le site a permis de situer cette construction entre 1020 et 1155. Au XIe, il s’agit d’un bâtiment sur poteaux sur la plate-forme entourée de fossés de 4m de profondeur, qu’on atteint par une passerelle , puis sont construit un châtelet d’entrée, 4 bâtiments et peut-être  une cour dallée dont Marie Palué attend beaucoup de renseignements lors de sa fouille !
La soirée se termine avec quelques questions des auditeurs.
Un grand merci à Marie Palué qui nous a fait découvrir le château de l’Herm qui, pour beaucoup d’entre nous n’était que la source des malheurs de Jacquou    Le Croquant !
     Claude Duverneuil.


 
 

 

Château de l'Herm par Marie PALUE..

.                            Club Histoire de La Tour Blanche
                       Lundi 16 Mai 20h 30 

                          Salle Polyvalente
« Une approche historique et archéologique du château de l’Herm. »
Rares sont les châteaux de notre Périgord qui auront fait  l’objet de recherches aussi fouillées  que celles conduites par  Marie Palué au château de l’Herm.
C’est de cette ruine romantique  dont s’inspira, en  1899, Eugène Le Roy, pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"
Cette bâtisse était dans un piteux état quand Marie Palué et son mari en prirent possession, il y a plus de dix ans. Des années de travaux avec très peu de moyens leur ont permis de mettre en valeur, pour notre plus grand plaisir, ce joyau de style gothique flamboyant  que nous pouvons aujourd’hui visiter.
De plus, avec une obstination qui force notre admiration Marie Palué  a non seulement fait parler tous les « grimoires » concernant les familles nobles qui ont habité cette bâtisse et les différents drames qui s’y sont déroulés,  mais elle a obtenu de la part du Service Régional d’Archéologie l’autorisation d’engager plusieurs campagnes de fouilles.
La précédente campagne avait déjà livré une foule d’informations sur la période à laquelle a été édifié ce château.
 La dernière qui vient de se terminer a livré quelques secrets sur la datation et la forme des premières levées de terre et les premiers fortins édifiés sur le site.
Quand on sait que dans notre département réputé pour ses nombreux châteaux, il en existe  très peu faisant l’objet de recherches archéologiques ; on en appréciera d’autant plus le travail conduit par Marie Palué
 Rendez vous donc Lundi 16 Mai à la salle polyvalente de La Tour Blanche à 20h 30 où Marie Palué nous présentera le résultat de ses dix années de recherches.
Gabriel Duverneuil


 

Travaux chez " Thézy"

Ce matin à 12h la première et plus grosse partie du travail sur le site de "Chez Thézy" a pris fin.
Un grand MERCI à :
Mmes: D Bresse,M Fressengeas, M L Mourlhou, F Roche, N Vigne et pour leur soutien "logistique" Mmes C Boissel, A Dubertrand, C Duverneuil, L Varailhon.
Mrs: M Boissel, J Bouthonnier, P Lecamus, G Lucas, F Gérard, J Mourlhou, JP Marciniack, J Mathieu, P O'Connor,C Ponceau, M Vergnaud, A Vigne, L Vanpoolvoerde, C Varailhon.
Il y a eu 25 séances de travail de 81 heures avec 115 participant(e)s dont  deux séances avec 12 personnes.
Au total ce sont 
335 heures  de travail qui ont été nécessaire pour venir à bout des 132 m2 dégagés.
Merci à Mme Laval qui nous a permis d'entreprendre ce sondage et à H Gaillard du SRA qui nous a fait confiance.
L'opération n'est pas terminée mais le plus dur est fait, nous allons maintenant balayer et brosser 120m2, et faire le relevé précis du site.
Dès que possible, avec l'Amicale de La Tour Blanche nous allons organiser un pot de remerciements.
Amitiés à Toutes et Tous.
Gabriel Duverneuil
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Compte rendu da soirée " Les pigeonniers du Mareuillais et du Verteillacois

Soirée du Club Histoire de La Tour Blanche et des environs
du Lundi 18 Avril 2011
« Les pigeonniers du Mareuillais et du Verteillacois »
Conférence de Francis Gérard (secrétaire du GRHiN)



Suivie par près d’une centaine de personnes, la conférence de Francis Gérard a comblé aussi bien les amateurs d’Histoire que ceux de notre patrimoine architectural.
Francis  Gérard a d’abord éclairé notre « lanterne  historique » en balayant sur quelques millénaires  l’histoire du pigeon domestique (le Bizet) dont sont issues toutes les variétés actuelles.
Le Bizet, pigeon  de falaises des bords de la Méditerranée, domestiqué par les égyptiens les Grecs puis les romains  fut utilisé comme porteur de messages dès l’antiquité et le restera jusqu’à la guerre de 1939.
Les romains possédaient  des élevages  comportant 3 à 4000 boulins (trou dans lequel nichent les pigeons dans les colombiers). Pendant le haut Moyen Âge les pigeons sont peu utilisés, mais à la suite des croisades, leur élevage se répand  en Europe. Il devient  un droit de fief attribué par le roi à la hiérarchie nobiliaire. Sous Louis XV, 400 pigeons étaient servis à la table du Roi et 300 à celle de la Reine ! Le nombre de boulins autorisé était  en rapport avec  la superficie du fief : un couple de pigeons dans un boulin correspondait à un «Journal » de terre (environ 0,5 Ha), ainsi le colombier du Château de Nanchat à La Tour Blanche, comportant 800 boulins, correspondrait à un domaine seigneurial de 400 Ha. Dans notre région la construction des pigeonniers ne remonte pas avant le XVème siècle c'est-à-dire la fin de la guerre de cent ans.
L’appellation  du bâtiment  servant à l’élevage des pigeons a changé au fil des siècles, les textes les plus anciens parlent de « fuie » puis on le désignera comme pigeonnier quand il s’agira d’un bâtiment de petite capacité (moins de 300 boulins), puis de colombier pour des capacités supérieures. Le terme de fuie sera alors employé pour désigner  l’ouverture réalisée dans le toit où sur le mur pour le départ et l’arrivée du pigeon.
Malgré leur très grande diversité architecturale, les pigeonniers respectaient  tous un certain nombre de règles de construction intangibles. Francis Gérard  nous les détaille à partir d’un beau document ancien.
L’idée générale était de réaliser un bâtiment inaccessible aux divers prédateurs des pigeons : serpents, rapaces  ou  rongeurs. Le pigeonnier  était en général enduit ou  réalisé en pierres de taille jointives. Il comportait au moins un bandeau en saillie appelé  larmier ou randière qui interdisait le passage des rongeurs. Les ouvertures ou fuies étaient situées à l’abri des vents dominants.  A l’intérieur, pour permettre l’accès aux boulins,  pour les nettoyer et récupérer la fiente (colombine) comme engrais  ou pour emporter les œufs  ou les pigeonneaux, un système ingénieux d’échelle tournant autour d’un axe vertical  était utilisé pour les pigeonniers de grande hauteur. Ce système est encore intact dans le pigeonnier du château de Teinteillac.
Francis Gérard nous a passé en revue les  pigeonniers  de notre contrée, de styles très variés, en expliquant les différentes évolutions dues entre autre à la fin de ce  privilège,  de la noblesse  et du clergé, en 1790. Le pigeonnier deviendra alors un ornement de certaines  maisons paysannes dont il nous montra quelques beaux exemples. Il termina en souhaitant que cette soirée contribue à la sauvegarde de ce patrimoine inestimable.
Gabriel Duverneuil. 

Voir la vidéo :     http://www.youtube.com/watch?v=fK_NfFkJcaY

Les pigeonniers du Mareuillais et du Verteillacois.

                                   Soirée à ne pas manquer...

Compte-rendu de la conférence du 21/02/2011

 « Le vrai visage d’Eugène Le Roy » par Richard Bordes et Claude Lacombe

Avant de passer la parole aux deux conférenciers, Gabriel  Duverneuil  a annoncé les conférences à venir :
 lundi 18 Avril  à la salle de fêtes de La Tour Blanche à 20h 30: « Les pigeonniers du Mareuillais et du Verteillacois » par Francis GERARD  du GRHIN
 Lundi  16 Mai Salle des fêtes 20h 30 : « Château de l’Herm : approche historique et archéologique » par Marie PALUË
Il lance un appel à tous ceux qui possèdent de vieux outils de carriers à se faire connaître,  soit par courriel :  gabriel.duverneuil@orange.fr ou par téléphone : 0553906341 , les outils seront photographiés et resteront entre les mains de leurs propriétaires.
Richard Bordes  nous présente ensuite la biographie d’Eugène Le Roy.
Célèbre pour son roman « Jacquou le croquant » qui a connu de nombreuses rééditions, L’auteur a fait l’objet de plusieurs biographies que les auteurs estiment  contestables, ils ont donc mené leur  propre« contre enquête ».
Né en 1836 à Hautefort, E. Leroy est élevé dans une famille dans une ferme de propriétaires aisés  située à l’emplacement de la gendarmerie de Hautefort. L’origine de ses parents est normande et bretonne, ceux ci arrivent  en 1935-36 avec le Baron de Damas (ministre de Louis XVIII) dont ils sont les domestiques.  Après une première scolarité à Hautefort, il est envoyé à l’école des Frères à Périgueux en 1844, puis il est placé comme commis épicier. Il vivra la révolution de 1848 à Périgueux, et s’engagera dans l’armée de « pacification » en Algérie. Envoyé en Italie pendant la guerre de Napoléon III, il y gagne une médaille mais, anti bonapartiste, il lime le portrait de Napoléon III sur la médaille.
En 1860 il retourne à Hautefort et passe le concours des contributions directes et devient percepteur. Il rencontre une postière et le couple a un enfant en 1874 déclaré « né de parents inconnus » jusqu’au mariage civil qui a lieu en 1877 a la suite duquel ils reconnaîtront l’enfant.
En 1876, il est vraisemblablement « initié » à la Loge Maçonnique, mais dès 1877 il est révoqué et la Loge fermée. Nous sommes alors en pleine période conservatrice et Mac-Mahon cherche à restaurer la monarchie, mais des élections sortira une majorité républicaine avec J. Grévy au gouvernement.
Il commence alors à écrire des articles pour les journaux  locaux contre le clergé, la justice de l’époque et la noblesse. Il entre alors au Grand Orient de France qui a supprimé de ses statuts toute référence religieuse et se réfère désormais à « La Libre Pensée »
Nommé à Bordeaux, il commence alors son œuvre d’écrivain avec « Le moulin du Frau », véritable  « leçon de radicalisme appliqué », ainsi qu’il le définit lui-même. Puis viendront « Jacquou Le Croquant », « L’ennemi de la mort », « Mademoiselle de La Ralphie », tous ces romans basés en partie sur des faits historiques. Cela contredit l’affirmation de certains auteurs selon laquelle  E. Leroy  ne serait qu’animé d’un besoin de revanche sociale pour écrire se romans.
En 1902, il perd son fils ainé, puis termine ses jours à Montignac en 1907. Il reste fidèle à ses idées  et  demande à être enterré civilement.
Claude Lacombe complète l’exposé de Richard Bordes par une projection de photos  d’Eugène Leroy et de ses proches, la plupart inédites, qui éclairent sa vie et ses idées.
Une soirée très enrichissante à laquelle ont assisté un peu plus de 80 personnes et qui nous a permis de découvrir cet  écrivain sous un jour nouveau.
Vous pouvez retrouver les activités du Club Histoire sur internet :
http://clubhistoireltb.blogspot.com/
Claude Duverneuil

Compte-rendu de la réunion du Club Histoire de LTB du 21/02/2011











Environ 80 personnes étaient présentes pour faire ce que Madame Sonia Breux-Pouxviel a nommé un "voyage" à travers la vie quotidienne au Moyen Âge au moyen d’une centaine de diapositives d’enluminures du XIII e au XVIe siècle.
Auparavant, Gabriel Duverneuil a rappelé les conférences prévues par le Club , en particulier la prochaine qui aura lieu le lundi 21 Mars à la salle de fêtes de La Tour Blanche :
Le vrai visage d’Eugène Leroy par Richard Bordes et Claude Lacombe
Il a propose également un numéro des Chroniques Nontronnaises édité par le GRHIN concernant un parcours historique à travers La Tour Blanche et ses environs ainsi qu’un travail réalisé par M. Vergnaud sur les Prieurés de Champagne-Fontaine.
Madame Sonia Breux-Pouxviel commence sa "conférence –voyage "  en expliquant qu’il n’existe pas de documents imagés autres que religieux pendant le haut Moyen-âge et qu’elle nous présentera donc uniquement des diapositives d’enluminures du XIIIe au XVIe siècle qui vont, pour beaucoup d’entre nous , être pleines de découvertes et de surprises. Le diaporama nous retrace les grandes époques de la vie, de la naissance à la mort essentiellement chez les gens aisés, les paysans apparaissant peu et probablement enjolivés.
La première diapo nous montre les quatre âges de la vie avec, -oh surprise !- un enfant en robe dans un "youpala " à roulettes ( !), un adolescent en braies courtes, chasseur avec son faucon, un homme mûr en braies et chausses et enfin un vieillard à nouveau en robe longue. Et l’intérêt ne tarira pas au cours du parcours. Femme en train d’accoucher, femme allaitant, bébé emmailloté et visite des frères et sœurs au nouveau-né, représentations toujours pleines de tendresse. Puis baptême, jeux d’enfants (à la balle avec des pots en terre !), et même une "correction " au fouet devant la mère et les frères et sœurs par le père qui n’a pas cependant l’air bien terrible ! Vient ensuite l’âge des études avec de magnifiques abécédaires, des étudiants à une table de travail avec un gros livre (dessin très moderne , presque stylisé, rappelant la bande dessinée ) ,puis l’âge de l’amour, jeune fille attendant dans un jardin qu’un jeune homme lui fasse sa cour, premier baiser, mariage (peut-être un peu idéalisé tout cela ?), repas de noce, nuit de noce (eh oui !), construction du château, mobilier (lits très larges où on pouvait dormir à plus de deux, mais paraît-il, le seigneur ,toujours entre sa dame et ses invités !
Puis nous assistons à des scènes de la vie de chaque jour, en particulier au bain d’un seigneur où on le voit sortir de sa baignoire, un serviteur lui tendant une serviette, et recevant en même temps un personnage, un genou à terre venant lui faire une requête !  Au diable les idées reçues, on se lavait au Moyen-âge, et on n’avait pas honte de son corps !
Puis viennent de enluminures provenant souvent de ‘Livres d’Heures’ montrant la vie, probablement idéalisée, des paysans de l’époque et des travaux des champs qui n’ont guère évolué jusqu’au siècle dernier : labourage, semailles, moisson, gerbier, vannage, battage. Evocation de la traite, avec vache léchant tendrement son veau.
De nombreuses scènes de la vie courante suivent, par exemple "la galette des rois " avec un enfant sous la table choisissant le destinataire de chaque part ! La méthode a fait ses preuves puisqu’elle n’a pas changé de nos jours ! De nombreuses activités sont représentées, de la prostituée frappant à une porte (laquelle ?) à des pèlerins se rendant à Saint Jacques de Compostelle !
Le diaporama se termine par le malade et son médecin, le malade rédigeant son testament, l’agonisant recevant l’extrême onction et l’homme mort cousu dans son linceul. Il semble que nous ayons fait le tour de la question !!!
Quelques questions et un grand merci à Sonia Breux-Pouxviel pour nous avoir montré que le Moyen-âge n’est pas ce temps obscur et barbare qu’on imaginait, il y a encore peu de temps.
La soirée s’achève après que Gabriel Duverneuil ait rappelé que la prospection sur le site agricole du haut Moyen-âge à Cercles continue et que toutes les bonnes volontés sont les bienvenues.
Claude Duverneuil



Compte rendu de la réunion du Lundi 17 Janvier 2011


Histoire Mémoire et Patrimoine
Réunion du Lundi 17 Janvier 2011 :
 
  Etaient présents :  Mme Sauvanaud Arlette, , Mme &Mr Billard Colette et Christian, , Mme&Mr Varailhon Lucienne et Christian, Mme Nardou Suzanne, Mme&Mr Desfarges Jeanne et Pierre, Mme&Mr Boissel Christiane et Claude, et Pierre Mme & Mr Labrousse Colette & Pierre, Mme Gelpi Monique, , Mme&Mr Vigne Nicole et André, Mme & Mr Bouthonnier Arlette & Jean Paul, Mme&Mr Duverneuil Claude et Gabriel, Mme Gomendy Cécile, Mme & Mr Farges Marie-Jo et Gilles, Mr Gérard Francis, Mme Cuingnet Nicole, Mr Beuque Bruno.
                     Etaient excusés Mr Malville Paul, Mme et Mme Mourlhou, Mme Lewis Mireille.





  • Gabriel Duverneuil fait un bilan des activités de l’année 2010 sous forme de diaporama :










  • Les conférences diverses ont été en général très appréciées. Une discussion s’ouvre autour de la Rencontre Historiens -Ecrivains sur les Révoltes Paysannes du 27 novembre dernier. Certains ont regretté l’absence de mise en perspective historique des différentes révoltes des Croquants au cours des siècles, il aurait fallu, par un diaporama de 10 mn environ resituer ces révoltes dans leur époque historique. Quelques personnes n’ont pas apprécié le film qui a suivi, mais la majorité des participants a trouvé qu’il illustrait assez bien ce que sont devenues les révoltes paysannes au XXe siècle.

     
      1. Publications auxquelles ont participé des membres du club :
      2. " Le Prieuré des Dames " par M. Vergnaud
        " Le Chemin de Fer " par Mmes Gelpi, Cuingnet, Labrousse et Boissel
        " Les chroniques nontronnaises ",n°26 du GRHIN par F. Gérard et G. Duverneuil.
      3. Prospections autour de La Tour Blanche :
      4. G. Duverneuil projette des photos montrant un certain nombre de découvertes ou redécouvertes du patrimoine archéologique local faites en 2010 :
        -Borie située vers " Chez Séguy ", retrouvée grâce à Léon Vanpoelworde
        -Dolmen, abri sur front de taille, cluzeau de guet dans le Vallon de la Rochette, avec le concours de Mr et Mme Comin
      5. Silos et restes de bâtiments agricoles probablement du Moyen-âge " chez Thézy ",
      6. Ceux qui sont intéressés par cette prospection sont invités à se faire connaître auprès de G. Duverneuil pour qu’il les informe des prochaines séances.
      7. Poursuite du relevé des graffiti dans les carrières de La Tour Blanche et Cercles (de 1860 à 1970) : Grâce à la lampe fabriquée par l’ingénieux C Varailhon ! Plus de 1000 photos ont déjà été prises par M. Boissel. Le dossier des Mines au sujet des carrières a été entièrement dépouillé aux Archives Départementales par M, Gelpi et G. Duverneuil, permettant d’étudier l’évolution sur une centaine d’années de la règlementation de l’exploitation de la pierre. Des entretiens avec des carriers sont en cours. Une visite de G Duverneuil au Service Régional d’Archéologie de Bordeaux lui a permis de consulter des dossiers d’études de carrières.
      8. G. Duverneuil présente ensuite, toujours sous forme de diaporama, le programme des activités du club pour 2011 :Conférences programmées :
        1. Lundi 21 Février à 20h30 " Vie quotidienne au Moyen-âge " par Sonia Breux
        2. Lundi 21 Mars à 20h30 " Le vrai visage d’Eugène Leroy " par C. Lacombe et R. Bordes
        3. Lundi 18 Avril à 20h30 " Les pigeonniers du Mareuillais et du Verteillacois " par F. Gérard
        4. Lundi 16 Mai à 20h30 " Château de l’Herm : approche historique et archéologique " par M. Palué.
        Toutes ces conférences auront probablement lieu à la salle polyvalente de La Tour Blanche.
      9. La randonnée historique sur le thème du " Vin de Rossignol "
      10. Propositions de thèmes de rencontres Historiens-Ecrivains pour le 17 Novembre 2011 et les années à venir :
        -Les guerres de religion en Périgord
        -1939-1945 : Alsaciens, Espagnols, Juifs, Périgord, terre d’accueil ?
        -Antoine de Tounens , Roi d’Araucanie à partir d’un travail en cours de JF. Garette
        -Le Périgord gallo-romain.
        -La guerre de 100ans et Du Guesclin.
        ….Toutes les suggestions seront les bienvenues !
        , en particulier " chez Thézy " pour laquelle la DRAC attend un rapport. Faîtes-vous connaître pour participer.
      11. La prospection continue
      12. Des études faites par des membres du club sont engagées :
        1.  " L’évolution des voies de communication au XIXe siècle "
        2. " L’eau et les hommes le long du Buffeballe "
        3. Différentes lectures ont permis d’enrichir le tableau chronologique des évènements concernant La Tour Blanche et les environs
        4. " La véritable généalogie d’Henri Bertin, ministre de Louis XV " de Michel Cabanac (2010)
        5. " La révolution en Périgord "2 vol. de Georges Bussières (1903)
        6. " Le guerrier et le philosophe  ou quand Monluc et Montaigne gardaient l’Aquitaine à la France " Eric Egnell (2009)
        7. " Histoire de la poste aux lettres en Périgord " Charles Lafon (1949)
        8. " Alain de Solminihac (1593-1659) prélat réformateur de l’abbaye de Chancelade à l’évêché de Cahors " Patrick Petot (2009)
          , sera organisée par M. Vergnaud et aura lieu le 3 Septembre
          pour lesquels la propriétaire, Mme Laval et la DRAC (Direction des affaires culturelles) d’Aquitaine, ont donné l’autorisation de sondage,


        Ce tableau est à la disposition de ceux qui le souhaitent, faire la demande à G Duverneuil.
        Le blog du club histoire devrait recevoir prochainement le diaporama de la réunion, Claude Boissel en est l’administrateur avec l’aide de B Bodet.
        Voir la vidéo projetée lors de la réunion :
         http://www.youtube.com/watch?v=chSPMPET0KQ